L’expansion des places en médecine en Corée du Sud

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Une bonne nouvelle pour les aspirants médecins en Corée du Sud : le nombre de places disponibles dans les écoles de médecine augmente légèrement l’année prochaine. Le ministère de l’Éducation a annoncé la semaine dernière que le nombre de sièges passerait de 1 489 à 1 509, bien que cela soit moins que les 2 000 places supplémentaires initialement envisagées par le gouvernement.

Cette mise à jour fait suite à une révision des quotas d’inscription soumise par 31 des 32 écoles de médecine ayant reçu des sièges supplémentaires. En conséquence, un total de 1 469 places ont été ajoutées en vue d’une augmentation progressive d’ici 2025.

Pour 2026, il est prévu que les facultés de médecine utilisent pleinement leurs quotas attribués, ce qui entraînera l’ajout de 2 000 places supplémentaires par rapport à 2024. Cependant, une école de médecine, l’Université Cha, a été exclue de cette mise à jour car elle fonctionne différemment des autres écoles en permettant aux étudiants de s’inscrire après avoir obtenu un baccalauréat de quatre ans.

Alors que les discussions se poursuivent avec l’Université Cha, le ministère a souligné que les neuf écoles de médecine gérées par l’État en dehors de la région de la capitale ont décidé de n’utiliser que la moitié de leurs quotas alloués.

Parmi les universités qui ont choisi d’augmenter leur nombre d’inscriptions, l’Université nationale de Chungbuk a annoncé la plus grande augmentation, ajoutant 76 places pour un total de 125 places pour 2025. De même, l’Université nationale de Kangwon ajoutera 42 nouveaux sièges, soit la moitié de son quota initial.

Bien que la plupart des écoles privées aient décidé d’utiliser pleinement leurs quotas, certaines, comme l’Université Sungkyunkwan et l’Université d’Ajou, ont choisi d’augmenter leurs inscriptions de manière plus modérée.

Cette mise à jour intervient dans un contexte où le nombre de places en médecine en Corée du Sud est resté relativement stable depuis 2006, en raison de diverses considérations politiques. Toutefois, ces ajustements visent à répondre à la demande croissante dans le domaine de la santé et à offrir davantage d’opportunités aux étudiants désireux de poursuivre une carrière médicale.

Dans les semaines à venir, chaque université soumettra sa demande à l’approbation du Conseil coréen pour l’enseignement universitaire, et les chiffres finaux seront publiés sur les sites Web des écoles.

Sources : Yonhap et The Korea Herald

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